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Par mary-anne le 1 Mars 2013 à 18:02
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Par mary-anne le 22 Juillet 2011 à 15:37Le massif du Sancy, en Auvergne, accueille tous les ans la manifestation Horizons, rencontres "Arts Nature". Elle permet à des artistes contemporains de créer des œuvres intégrées dans l'environnement. Ici, le travail de Véronique Roger s'inspire de la fameuse colline hollywoodienne... Les promeneurs du côté des grottes de Jonas à St Diery vont avoir envie de se prendre en photo devant ! © B. Pauty - Horizons 2011Timothée Peron et Jérémie Legendre ont imaginé cette installation sonore, DesAccords de Nature. L'impressionnante construction de bois est en forme d'hélice d'ADN. L'eau tombe dessus en émettant un bruit qu'on peut modifier en agissant sur la structure... Le tout s'interroge sur les interactions entre l'homme et son environnement. © B. Pauty - Horizons 2011Le jeune collectif Landscape Connection a installé ces huit Portes de l'espace en bois pour servir de cadre au paysage. Ce sont des portes ouvertes sur l'univers, qu'on peut franchir pour faire à son tour partie du paysage. © B. Pauty - Horizons 2011L'installation Cardinal est un simple mât de 7 m de haut auquel sont accrochées des sangles rouges. Laurent Gongora et Marion Robert ont eu l'idée de redessiner la forme de la montagne grâce à ce cône. Une fois à l'intérieur, il sert aussi de cadre au paysage. © B. Pauty - Horizons 2011Brindilles est une réalisation amusante de l'artiste américaine Susanne Husky, qui a construit plusieurs petites "cabanes" de branches et de brindilles. Le visiteur peut y pénétrer et s'y sentir comme un animal bien au chaud dans son terrier ou son nid. © B. Pauty - Horizons 2011Trouverez-vous le véritable dolmen au milieu de ces étranges copies ? Megalith Monument a été conçu par la néerlandaise Hannah Streefkerk pour l'édition de cette année. Avec leur herbe artificielle sur le dessus, on les croirait jaillis du sol... Cela symbolise le fait que le dolmen original est autant un élément naturel qu'une création humaine. © B. Pauty - Horizons 2011Cette création se compose de 7 lits en fer forgé et de lampes. Nommée Lits d'eau par son créateur, Joël Thepault, elle laisse le spectateur rêveur : et si on pouvait dormir à la belle étoile, au-dessus de l'eau, en pleine nature ? © B. Pauty - Horizons 2011Sommeilleur HANS est une création de Benoît Rassouw pour l'édition 2011 des rencontres "Arts Nature". De loin, c'est un simple empilement de foin, mais quand on se rapproche, on découvre un nid douillet dans lequel se blottir. © B. Pauty - Horizons 2011Le retour des porteurs d'eau est une œuvre de Sophie Larger et Martine Harlé dans laquelle des chambres à air accrochées les unes aux autres symbolisent les porteurs d'eau auvergnats. © B. Pauty - Horizons 2011En 2010, 11 nouveaux artistes sont venus mettre en valeur la beauté des sites naturels de l'Auvergne. Parmi eux la Coopérative Ouvrière de Production Artistique, dont les drapeaux flottant au vent forment un îlot de couleur. © OT Massif du SancyCette aile de papillon ou de libellule embellit la nature environnante en la parant d'une lumière iridescente. Morpho, réalisée en 2010 par Julia Dantonnet, était pensée pour évoquer et transformer la nature. © OrganicomEntièrement couverte d'ardoise, la vipère géante Dordonha viperinae de Thomas Monin mettait en valeur la Dordogne, fleuve nourricier qui passe pourtant inaperçu dans ces magnifiques paysages volcaniques. © OT Massif du SancyC'est à fleur de volcan que Claire Forgeot a réalisé en 2010 cette œuvre de 100 m de large à l'aide de simples piquets. Septentrion est une manière poétique de représenter le lien entre l'homme et la nature. © OT Massif du SancyInstallé au beau milieu de la forêt, à quelques pas de la Cheminée des fées, une célèbre curiosité naturelle de la région, se trouve le Green Tim. Ce personnage de babyfoot fixé entre deux arbres est l'œuvre très drôle du collectif Module Ranch. © OT Massif du SancyStéphanie Buttier et Laurence Robert se sont inspirés des Salers qui broutent habituellement dans les champs pour créer Vaches à Air. Les cerf-volants en forme de vache ont ponctué tout l'été 2010 le paysage naturel de manière à la fois poétique et humoristique. © OT Massif du SancyPerdus au milieu des bois, il nous arrive de comparer l'agencement des arbres à une immense cathédrale. C'est cette image que reflète l'œuvre de Sean McGinnis, à la fois gigantesque toile d'araignée et tunnel organique conçue pour l'édition 2010. © Sean Mc GinnisMétavatar, création en bois de Laurent Pierre, forme un squelette de grotte à même une pente herbeuse. Comme s'il matérialisait à la surface ce qui est creusé au fond de la roche. © OT Massif du SancyLa tente, fidèle amie du randonneur, est ici intégrée dans le décor de verdure sous la forme d'une fleur. Antoine Nessi, jeune talent 2010, souligne par son œuvre notre rapport à la nature. © OT Massif du SancyBouillonnement, créé en 2009 par Aurélie Barbey et Laura Ruccolo a su sublimer la beauté naturelle d'une cascade en plaçant des bulles de plastique de toutes les tailles dans l'eau et au-dessus. Le résultat est aussi féérique que surprenant. © Bernard Pauty / OT SancyLes œuvres présentées sont parfois moins esthétiques et se veulent philosophiques. Lors de l'édition 2008, la création Maintenant de Christian Hasucha invitait à une réflexion sur la nature éphémère plus qu'à la contemplation du paysage. © Bernard Pauty / OT SancyD'autres travaux s'avèrent presque militants : avec son Code terre, Emmanuel Cartillier invitait à s'interroger sur nos modes de consommation, parfois désastreux pour notre environnement. © Bernard Pauty / OT SancyMessage très fort également, Onde et Cible, de Laetitia Carlotti, était une cible de 25 mètres de diamètres composée de douilles de cartouche utilisées pour la chasse. Au milieu du champ, l'installation semblait pourtant presque faite de fleurs. © Bernard Pauty / OT SancyLes promeneurs qui traversent le massif du Sancy sont invités à scruter le paysage à la recherche d'éléments incongrus. Comme ce Still Life With Tree, créé pour l'édition 2008 par Cornelia Konrads. © Bernard Pauty / OT SancyWeaving the Landscape, par Freya Barbell et Howe Brian, tissait une large dentelle au pied d'un paysage sublime. Un petit sentier de randonnée partant à quelques mètres de là incitait à partir visiter la vallée de Chaudefour. © Bernard Pauty / OT SancyLes artistes présents lors des événements Horizons cherchent à refléter la nature. Ici, l'œuvre de Frédéric Ollereau, Sédimentations, traduisait par des couches de laines colorées les strates composant les roches environnantes. © Bernard Pauty / OT SancyImpressionnantes, les Pierres Flottantes de Roger Rigorth ont épaté les promeneurs en 2009. L'artiste a ajouté un peu de magie dans un paysage de forêt déjà féérique, où se succèdent des cascades et des marmites du diable. © Bernard Pauty / OT SancyHorizons Rencontres Arts Nature sont une belle opportunité de découvrir des sites naturels peu visités. Ainsi le poétique Back Flip Bridge de Tanya Preminger attirait les visiteurs jusqu'à la tourbière, un écosystème rare mais réellement magnifique. © Bernard Pauty / OT SancyParfois, la nature est tellement présente que l'œuvre devient presque imperceptible. A la Bourboule, la Chute des fées avait l'air d'une véritable cascade. Pourtant, il s'agissait d'une installation en plastique pensée par Victoria Klotz pour l'édition 2009. © Bernard Pauty / OT SancyL'événement Horizons, rencontres "Arts Nature" nous invite depuis plusieurs années à sortir des sentiers battus, et à redécouvrir les splendides paysages de l'Auvergne. Le parcours proposé par les artistes émerveillera de par son caractère à la fois insolite et authentique. © Géraldine Deveau
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Par mary-anne le 4 Octobre 2010 à 21:05
Classé monument historique, le Pont-vieux d'Albi est l'un des plus anciens ponts de France à être utilisé pour la circulation. Construit vers 1040, il repose sur huit arches et mesure 150 mètres de long. © Ville d'AlbiPeint à la fin du XVe siècle, la fresque du jugement dernier du chœur de la cathédrale d'Albi met en scène les élus quittant leurs tombes, invités à rejoindre les apôtres et les saints, tandis que les damnés rejoindront les enfers. © Ville d'AlbiLe chœur de Sainte-Cécile est orné d'un orgue monumental qui se range parmi les plus beaux de France. © Ville d'AlbiDe 1509 à 1512, le chantier des voûtes de la cathédrale Sainte-Cécile fût confié à des peintres italiens originaires de Modène et de Bologne. Bel exemple de la peinture Renaissance en France, ces fresques mettent en scène tous les personnages importants de l'Ancien et du Nouveau Testament, dominés par un Christ en majesté. © Ville d'AlbiLes contreforts de la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi, plus grande cathédrale de briques au monde. © Ville d'Albi
Plus grande cathédrale de briques au monde, la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi est installée sur les hauteurs de la ville. Sainte-Cécile, témoignage de la foi chrétienne après l'hérésie Cathare, se distingue par son style gothique méridional. © Ville d'AlbiVue du ciel, la cité épiscopale, structurée autour de sa cathédrale et de son palais-forteresse, très représentative du développement urbain médiéval. © Ville d'AlbiComprenant la cathédrale Sainte-Cécile, le palais de la Berbie, l'église Saint-Salvi et son cloître, le Pont-Vieux et les berges du Tarn, c'est tout cet ensemble architectural constituant la cité épiscopale d'Albi qui a été classé. © Philippe Saint-MartinAlbi doit la beauté de son site et sa parfaite homogénéité à l'utilisation généralisée d'un matériau local : la brique foraine, qui donne à son ensemble architectural cette couleur ocre qui lui est si caractéristique. © Helene RANNOURetenue pour son ensemble remarquablement préservé, parfait exemple du style gothique méridional en France, la cité épiscopale d'Albi, vient de faire sa grande entrée sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco. © Ville d'AlbiPartager cet article :
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Par mary-anne le 27 Avril 2009 à 11:58
LES CHEMINS DES ST -JACQUE DE COMPOSTELLE
ns leur livre "Sacrés chemins de Saint-Jacques de Compostelle", Léonnard Leroux et Anthony Serex invitent les lecteurs à entreprendre ce périple en leur compagnie. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsSublimes Monts d'Arrée
D'un Finistère à l'autre, toutes les "fins de la Terre" sont belles. Peu importe les saisons, les paysages, ceux des Monts d'Arrée, demeurent d'une grande beauté. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsEn route sur les chemins sacrés
il vente ou qu'il neige, qu'il fasse un froid de canard ou une chaleur torride, le pèlerin marche inlassablement vers sa destination, la cathédrale de Saint-Jacques de Compostelle. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsEscale au hameau de Montbonnet
hameau de Montbonnet, l'ancienne chapelle dédiée à Saint-Roch était sûrement un lieu de passage des pèlerins au Moyen Age. Cependant, aucune certitude à ce sujet, le chemin est celui que chacun veut bien suivre. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsMise en lumière de la tour Charlemagne et de la basilique Saint-Martin-de-Tours
jeux d'éclairage ont remplacé les couleurs disparues des bâtiments, redonnant à la pierre un merveilleux éclat. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsMythique O Cebreiro
s pèlerins sont sur la bonne voie. Saint-Jacques-de-Compostelle n'est plus bien loin. Dernière grande ascension au mythique O Cebreiro avant de quitter bientôt la province de Leon. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsL'ancien monastère de Saint-Honorat
large de l'agitation de la baie de Cannes, un lieu de vie monastique retiré du monde. Sur l'île Saint-Honorat, l'une des deux îles de l'archipel de Lérins, l'ancien monastère fortifié Saint-Honorat, construit du XI au XIVe siècle. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsEternelle chapelle de Rochegude
mme sortie de terre, excroissance minérale au flanc du roche, caressée par les blés, la chapelle de Rochegude semble accueillir les pèlerins depuis toujours. Ceux-ci veillent à leur tour à sa sauvegarde. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsHalte à Ostabat
Ostabat est un village immuable du Pays basque, où se rejoignent les voies de Vézelay, du Puy et de Tours. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsAu départ de Vézelay
De nombreux pèlerins empruntent la Via Lemovicensis dont le parcours débute à Vézelay, "colline éternelle". Avant de débuter leur périple, ils se rendent tout d'abord à la basilique Sainte-Marie-Madeleine pour recevoir la bénédiction. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsPar tous les temps
En appui sur le sol, aidé du bâton de pèlerin, sous un ciel gris et pesant, il faut affronter tous les climats. Le doute est permis, le chemin est long. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsA la source de la vie, à la source de l'esprit : Vézelay. Contraste lumineux de la blondeur des champs, de la pierre de Bourgogne et d'un ciel sombre rayé d'un arc en-ciel providentiel. © Léonnard Leroux / Editions Déclicse Des chemins pour tous les goûts et tous les styles
murs de pierres sèches, des enclos tracent quelques limites, mais l'espace balayé de lumière s'ouvre sous les pieds du pèlerin, qui, respectueux de l'environnement, se montre humble face à la beauté du monde. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsEmouvante abbaye de Saint-Gilles
ndé au VIIe siècle, le monastère prit le nom de Saint-Gilles au IXe siècle. Ce n'est qu'à la fin du XIIe siècle que l'on décida de construire une vaste église pour abriter le tombeau du saint. Mais la construction ne fut jamais achevée et ce n'est qu'au milieu du XIXe siècle que la façade fut ornée de sculptures aux influences diverses. La lumière du sud embrase ou illumine la pierre. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsLe curieux clocher de Saint-Côme-d'Olt
Village médiéval parmi les plus beaux de France, Saint-Côme-d'Olt offre au regard et aux interprétations le curieux clocher flammé de son église gothique. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsSur la via Podiensis
Le chemin du Puy-en-Velay est le grand chemin de l'est de la France, et plus généralement de l'est de l'Europe. Il y a deux grandes étapes pour les pèlerins : Cluny et Lyon. © Léonnard Leroux / Editions DéclicsIls sont des millions de pèlerins à emprunter chaque année ces célèbres chemins menant à la crypte de la cathédrale de Saint-Jacques de Compostelle en Espagne. Ceux qui choisissent de se lancer dans ce périple, savent que le parcours ne sera pas de tout repos. Le chemin est long et difficile mais il est également beau et plein de belles surprises. Chacun a ses propres motivations lorsqu'il se lance dans cette incroyable épopée. Si pour beaucoup, c'est la foi qui les incite à entreprendre ce voyage, pour d'autres, c'est le défi physique, la découverte de la France et de l'Espagne via ces voies qui les motivent.
Dans leur livre "Sacrés chemins de Saint-Jacques de Compostelle", Léonnard Leroux et Anthony Serex invitent les lecteurs à entreprendre ce périple en leur compagnie. Au fil des pages, ils révèlent la beauté de ces itinéraires, guidant les lecteurs parmi les merveilles qui jalonnent la via Podiensis, la via Lemovicensis, la via Turonensis, la via Tolosane et enfin le Camino Francès. Ils partagent ainsi leurs expériences, leurs découvertes. Ils ont conçu ce livre comme "une voix faite de beaux paysages, de détails précieux et d'indications parmi tant d'autres pour approcher le chemin, aller vers le port, trouver sa voie, tracer son propre chemin de Compostelle."
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Par mary-anne le 2 Décembre 2008 à 11:59
On croirait voir les nuées ardentes d'un volcan en colère, mais il n'en est rien. Ces nuages n'en sont pas moins impressionnants. Apt, Vaucluse, France, juillet 2005. © André SantucciCouleurs maléfiques en Bretagne. Pont-Aven, Bretagne, France, août 2004. © Henri ManguyVan Gogh ou Manet ? Ce ciel torturé semble sorti tout droit d'une toile de maître. Amiens, Somme, France, mai 2003. © Philippe LeclercqMême aux Antilles le ciel peut annoncer de terribles nouvelles, comme c'est souvent le cas à la période des tempêtes tropicales. Palm Island Beach, Grenadines, Antilles, juillet 2002. © Bruno JubienTraces de roulage dans les champs laissant l'impression de décollage d'un véhicule vers l'espace. Auxerre, France, juin 2007. © Jean-Jacques CordierArc en ciel tibétain. Lhassa, Plateau du Tibet central, octobre 2003. © Philippe BourguineIlle-et-Vilaine, France, octobre 2008. © Liliane SalmonLa migration des oiseaux en automne est la saison durant laquelle le ciel est le plus somptueux. Humbecourt, France, janvier 2008. © Marc VincentLe ciel oscille telle une mer de nuages. Lisieux, France, août 2007. © Marc VincentLes Dieux ne nous sont pas encore tombés sur la tête, mais la colère du ciel laisse présager un terrible orage. Auvergne, France, août 2007. © Claude RatignetJuvigny, France, juillet 2006. © Maryline PlessiezCe petit voilier semble bien fragile à la vue de ce ciel annonçant un terrible orage. Punta Cana, République Dominicaine, novembre 2003. © Dominique VaessenOn se croirait presque ici sur le tournage d'un film à suspense... Apt, Vaucluse, France, mars 2006. © Jean-Eric RubioMoissac, Tarn et Garonne, France, janvier 2006. © Gisèle Mézailles-NibertGruissan, Languedoc, France, juin 2007. © Jacky JourdrenPartager cet article :
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Par mary-anne le 24 Novembre 2008 à 11:56
Etrange mausolée de pierres et de ciment, le Palais Idéal dresse au beau milieu de la Drôme des colonnes dignes du Temple d'Angkor. Photo © collection Palais Idéal / Dominique ErranteAu milieu des yuccas et des marronniers, les tourelles ciselées du palais tiennent compagnie aux gardiens des lieux et aux gargouilles insolites. Photo © collection Palais Idéal / Dominique ErranteMoulées dans les coquilles de mollusques, d'escargots, d'huîtres, les galets et le ciment, ces colonnes sont finement sculptées. Photo © collection Palais Idéal / Fabian Da CostaLe palais est édifié à partir des pierres collectées par le facteur lors de ses tournées. En tout, 600 m² de roches ont été acheminés avec une brouette. Photo © collection Palais Idéal / Dominique ErranteA gauche : L'entrée de la grotte de la Vierge Marie. Photo © collection Palais Idéal / Fabian Da Costa
A droite : Bâti dans son jardin, le palais était à l'origine un temple dédié à la nature. Photo © collection Palais Idéal / Dominique ErranteLe palais a été conçu de telle sorte que chaque façade compose un nouveau tableau. Ils fourmillent tous de petits détails vivants. Photo © collection Palais Idéal / Fabian Da CostaUnique exemple architectural de l'art naïf au monde, œuvre digne de Gaudí ou tout droit sortie des tableaux de Dali ou de Gustave Moreau, le Palais Idéal du facteur Cheval est un monument des plus insolites. Photo © collection Palais Idéal / Fabian Da CostaPartager cet article :
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Par mary-anne le 24 Novembre 2008 à 11:56
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Paysages insoupçonnés, panoramas à couper le souffle... Le photographe Frank Mulliez a su capter les beautés cachées de notre pays dans le livre intitulé "Sublime France". Ici, le Colorado provençal. En se retirant il y a plusieurs millions d'années, la mer a laissé entre le Luberon et les monts de Vaucluse un sol riche en minéraux de fer, notamment en hématite, composante de l'ocre, utilisée dans les domaines de l'art et de la construction. L'exploitation de cette matière par décantation des sables prospéra notamment à Rustrel et à Roussillon, jusqu'à l'arrivée des colorants synthétiques, mais il reste aujourd'hui la flamboyance du paysage. © Sublime France / photos F. Mulliez, texte P. FranchiniEn Provence, non loin du lac de Sainte-Croix, Sillans est un village à l'aspect médiéval. La rivière Bresque, à laquelle se joignent les flux provenant de la source du château de Bresc et du vallon de l'Ourcq, se précipite d'une hauteur de 40 mètres dans un petit lac au milieu de gigantesques platanes. © Sublime France / photos F. Mulliez, texte P. FranchiniSitué dans le Cantal, le château de Val, remarquable par les toits en poivrière et de diverses couleurs de ses tours dressées sur les rives du lac de Bort, fut construit au XVe siècle. Il a échappé à l'engloutissement sous les eaux du barrage de Bort-les-Orgues grâce à la ville corrézienne du même nom qui en est devenue propriétaire en 1953 et l'a restauré. © Sublime France / photos F. Mulliez, texte P. FranchiniCité emblématique de la Provence, Arles, construite au VIe siècle avant J.-C. sur un roc qui domine la rive gauche du Grand Rhône et qui la partage en deux, est située aux portes de la Camargue, là où commence le delta de ce fleuve. Exposée aux crues, son développement a été limité à l'est par une zone de marais. Elle possède un riche patrimoine artistique, dont les arènes romaines. © Sublime France / photos F. Mulliez, texte P. FranchiniDans la Manche, au large de Granville et au nord de la baie du Mont-Saint-Michel, l'archipel Chausey se compose de la Grande Ile et d'îlots, au nombre de 52 à marée haute et de 365 à marée basse. Véritable labyrinthe, repaire de pirates et de contrebandiers, il a été longtemps disputé par les Anglais et les Français. © Sublime France / photos F. Mulliez, texte P. FranchiniEn Savoie, dans la vallée de la haute Maurienne, le village de Bonneval se situe à une altitude de 1 800 mètres entre la Vanoise et le Grand Paradis. Au pied des glaciers et aux portes du parc national de la Varoise, il porte encore la marque de son économie qui était traditionnellement agropastorale. L'Arc qui coule dans la vallée de la Maurienne traverse ce paysage rude avant de rejoindre l'Isère. © Sublime France / photos F. Mulliez, texte P. FranchiniPartager cet article :
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